Les premières aiguilles d’acupuncture étaient taillées dans des pierres transparentes comme le quartz ou la tourmaline. Leur clarté exigeait du praticien une pureté d’intention, car ces minéraux amplifiaient les effets énergétiques du soin. Le Shennong Bencao Jing, plus ancien traité de médecine chinoise, classait déjà les pierres selon leur puissance : préventives, restauratrices ou curatives. Ces savoirs ancestraux montrent que les pierres ne sont pas de simples objets, mais de véritables alliées vibratoires pour rétablir la circulation du Qi dans les méridiens.
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